Théâtre d’objet conté et chanté autour d’un voyage en terre d’Afrique de l’ouest. « Bienvenus sur le bateau à rêver, pour voyager il faut imaginer : imaginer, Sadio et Karamoko qui dansent sous la pluie, Eléphant et Rhino qui se battent pour l’eau et bébé tortue qui refuse de quitter sa maman. Imaginer et vivre cette aventure pour de vrai ! » Moliba en vidéo

Histoire du chat qui voulait manger le monde,
du chat qui ne savait pas qu’il était un chat,
d’un chat malin qui suit son chemin,
histoire enfin, de celui qui partit à la recherche d’un gentil minou
et revint avec des milliers de matous.
Un spectacle où le chat est roi !

Au pays de l’hiver il y a : l’ours Michka, un petit oiseau à l’aile cassée et une fourmi aux pattes gelées. Il y a aussi une galette qui roule avec sa chansonnette et une mouflette prête à exploser.
Au pays de l’hiver on chante pour se réchauffer.

(solo ou duo avec un musicien)
Des contes d’animaux dans lesquels « la raison du plus fort n’est pas toujours la meilleure ». Chat, chien, loup, coq et autres bêtes à poil et à plumes se partagent la vedette de ce spectacle.

Le Cabaret du Hasard est un spectacle un moment unique et ludique. Il s’invente et se compose avec le public à partir de cartes tirées au sort. La musique est improvisée en direct et accompagne les contes, les chansons, les proverbes et les devinettes. Un conte est également imaginé à partir de mots avec les spectateurs.

Avec Karine Mazel et musicien, selon disponibilités : guitare, accordéon, percussions, basse.

(solo ou duo avec un musicien)
Regard croisé sur les destinées des personnages masculins et féminins dans les contes merveilleux. Lalie et Liechko, Peaux de Mille Bêtes, le conte dans sa plus noble expression, à la fois simple et profond.

Histoires marines de mystères et d’embruns, de sirène et de requins.
Larguez les amarres de votre imaginaire pour que le voyage commence !
Un spectacle comme un plongée dont on revient ébloui et apaisé.

Histoires d’une perle magique, d’un buveur de saké, d’une femme moustique, et d’un roi dragon du fond des mers. Clochettes, carillons et percussions ponctuent les escales d’un pays d’Asie à l’autre.

(solo ou duo avec un musicien)
« En venant ici, par les quatre coins du monde, pour acheter du pain, j’ai vu danser des loups ! »
Une menterie où les contes de loup se tissent à un récit de vie vrai de vrai, parole de conteuse !

(en duo avec un musicien)
On a suivi l’homme au violon dans la neige, moi, ma famille et tous les voisins. On est partis sans rien et on a partagé notre plus grand bien ; nos histoires et nos chansons. Ce fut une nuit de lumière et de fraternité.

Seule avec ses pelotes emmêlées, Karine Mazel s’interroge avec humour sur l’impertinence des contes merveilleux dans le monde d’aujourd’hui. Dans un dialogue avec une bonne copine ponctué de contes et de chansons, elle se demande :- Ces histoires sont-elles ringardes, sexistes et réactionnaires? Comment les raconter, faut-il les actualiser ou juste les mettre au pilon ? Elle questionne la modernité, les relations hommes/femmes et s’amuse des préjugés.

Il était une fois une femme, elle vivait seule avec son RSA.
Elle n’était pas encore vieille, mais tellement rétrécie par la vie qu’on aurait dit.
Il était une fois un homme de l’autre côté de la méditerranée.
Il avait déjà tout perdu, il ne lui restait plus que sa vie, et s’il voulait la garder, il allait devoir fuir. Il n’avait que la mer à traverser.
Le récit est un tissage entre le conte traditionnel La soupe au caillou et l’histoire contemporaine d’un accueillant sauvé par un réfugié.
La suite du récit s’improvise avec le public.
Récit : Karine MAZEL
Musique (basse et batterie)  Anaël NOURY

Les conte et l’hospitalité lire Lire l’appel

C’était Noël, c’était la nuit.
Je n’avais alors que 8 ans, mais le souvenir est resté bien vivant :
On a suivi l’homme au violon dans la neige, moi, ma famille et tous les voisins. Partis sans rien, nous avons partagé notre plus grand bien ; nos histoires et nos chansons.

L’histoire que nous allons vous raconter s’est passée aux États-Unis d’Amérique dans les années 1930, chez John et Clara Harris les parents de la petite Emma. Ils habitaient dans une grande maison blanche, entourée de champs de cotons blancs et ils étaient blancs eux aussi. À cette époque vivait une bête cruelle, insatiable de violence et de haine, elle avait pour nom Ségrégation.
La nourrice noire d’Emma lui raconte soir après soir les contes de Compère Lapin et Tibouc, héros des contes afro-américains. Mais cette nuit là, des hommes cagoulés attaquent la maison des Harrys…
Guitare, contrebasse, chants et récits se mêlent et dialoguent tout au long du spectacle.

Le Cabaret du Hasard est un spectacle un moment unique et ludique. Il s’invente et se compose avec le public à partir de cartes tirées au sort. La musique est improvisée en direct et accompagne les contes, les chansons, les proverbes et les devinettes. Un conte est également imaginé à partir de mots avec les spectateurs.

Avec Karine Mazel et musicien, selon disponibilités : guitare, accordéon, percussions, basse.

Il était une fois une femme, elle vivait seule avec son RSA.
Elle n’était pas encore vieille, mais tellement rétrécie par la vie qu’on aurait dit.
Il était une fois un homme de l’autre côté de la méditerranée.
Il avait déjà tout perdu, il ne lui restait plus que sa vie, et s’il voulait la garder, il allait devoir fuir. Il n’avait que la mer à traverser.
Le récit est un tissage entre le conte traditionnel La soupe au caillou et l’histoire contemporaine d’un accueillant sauvé par un réfugié.
La suite du récit s’improvise avec le public.
Récit : Karine MAZEL
Musique (basse et batterie)  Anaël NOURY

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